Vacances de travail: le retour

Vous vous en souvenez probablement, l’année dernière, j’avais inauguré les « vacances de travail » imaginées par Translating Berlin. J’étais donc parti pendant plus de deux mois aux États-Unis pour parfaire mon anglais, ma culture américaine et visiter le pays tout en continuant à travailler normalement avec mes clients habituels. La recette s’est avérée tellement plaisante que j’ai décidé de remettre le couvert cette année. Cette fois, la fiche d’identité est un peu différente:

Destination: Barcelone, Espagne
Durée: Deux mois
Hébergement: Sous-location d’une chambre en colocation
Objectif: Apprendre l’espagnol (non, pas le catalan)

Pour être tout à fait honnête, je ne pars pas de zéro en espagnol. Non seulement mes connaissances en italien et français constituent une bonne base, mais j’ai également suivi quelques cours par le passé. Le souci est que je suis bien loin de maîtriser la langue pour m’en servir dans mon travail.

Je pars donc en immersion totale catalano-castillane, avec au programme des cursos de conversación chez Don Quijote et des échanges linguistiques et culturels avec les autochtones. Côté bouillon de culture, des week-ends à Montserrat, Gérone, Tarragone sont au programme, de même qu’une soirée au Camp Nou (purement professionnelle, bien entendu).

Restez branché pour plus d’informations !

3 réflexions au sujet de « Vacances de travail: le retour »

  1. Voilà une excellente approche pour parfaire ses acquisitions linguistiques.

    Je vis à Barcelone (depuis 10 ans) après 7 ans à Dublin ; il n’y a pas de meilleurs moyens que de vivre, ne serait-ce qu’un mois, pourvu qu’il soit intensif dans les contacts avec les natifs, pour mieux appréhender une langue, influencée par sa culture (et vice-versa).

    Mon partenaire étant brésilien (on voit que j’aime les échanges interculturels), j’en ai profité pour passer un mois à São Paulo et voyager un tout petit peu au Brésil (comme tout est grand et relatif dans ce beau pays), tout en travaillant de façon itinérante. Physiquement, si les volumes de travail restent soutenus, ça peut être assez éreintant, mais on n’en revient pas indemne : avec la tête bien remplie de bonnes choses et d’ouverture d’esprit, et bien évidemment enrichi d’une langue étrangère un peu mieux maîtrisée. Je conseille très vivement. 😀

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